J’ai peur d’avoir des enfants, j’ai peur de devenir maman.
J’ai la trentaine, la quarantaine, et je me pose la question : « est-ce que j’ai vraiment envie d’avoir des enfants ? »
Cette vidéo est pour toi si tu te poses la question, si tu es peut-être en pleine introspection et que tu te dis : « Voilà, l’horloge biologique tourne, et il est important pour moi de me poser vraiment cette question, même si je la fuis peut-être depuis un moment. »
Je vais t’expliquer pourquoi ce sujet d’avoir peur d’avoir des enfants, encore tabou, est particulièrement important pour moi par rapport à mon histoire. Ce qui fait que beaucoup de clientes viennent vers moi alors qu’elles traversent cette problématique : je t’explique comment je les aide à décortiquer tout ça.
Je ne vais pas te faire ici l’apologie de si c’est bien d’avoir des enfants ou non. Nous allons plutôt explorer les peurs qui reviennent le plus souvent dans mes accompagnements, ce qui te permettra peut-être de te sentir en sécurité, surtout si pour toi c’est plus un « oui » qu’un « non ».
Mais vraiment, sur ce sujet, il n’y a pas de jugement à avoir. Je respecte totalement les personnes qui ne veulent pas d’enfants. Ce sujet tabou n’a pas lieu d’être, selon moi.
Cependant je pense que le plus important, c’est de ne pas rester dans l’entre-deux, dans le flou.
J’ai peur d’avoir des enfants : mon histoire personnelle
Je vais te raconter un peu mon histoire par rapport à cette peur d’avoir des enfants, parce que ça va t’aider à comprendre pourquoi c’est important pour moi, et peut-être que ça résonnera en toi.
Le déni : je ne serai jamais mère et ça me va
Jusqu’à environ 23 ou 24 ans, j’étais persuadée de ne pas vouloir d’enfants. C’était clair dans ma tête. Je n’ai jamais été cette petite fille ou cette jeune femme qui se projetait avec un mari, des enfants, une famille. Pas du tout. Je voulais vivre ma vie, croquer la vie à pleines dents, voyager, vivre des expériences, avoir un amoureux.
Cependant, j’avais toujours cette insécurité et cette impossibilité de me projeter. J’ai eu un déclic grâce à une relation amoureuse qui, bien que courte, a été importante pour moi. Lors d’un monologue où j’étais en train de déverser ma colère, j’ai fini par : « Et c’est pour toutes ces raisons que je n’aurai pas d’enfant. » Mon partenaire m’a alors regardée et m’a demandé : « Mais alors, qu’est-ce qu’on fait ensemble, si tu es sûre de ne pas vouloir d’enfants ? »
Le déclic : est-ce que je veux des enfants ou pas ?
Cela m’a interpellée. Je me suis posé la question : « Est-ce que je veux des enfants, ou pas ? »
Ce fut le début d’une longue introspection, qui a duré presque 10 ans, jusqu’à ce que je sois vraiment prête avec mon conjoint. Pendant cette période, j’ai travaillé sur mes insécurités et mes peurs pour me sentir pleinement prête. Aujourd’hui, je suis heureuse d’être la maman d’une petite fille de bientôt 2 ans, Anabela, que j’aime de tout mon cœur. Je ne regrette pas un instant d’être devenue maman, mais ça n’a pas été une évidence.
Les enjeux : suis-je faite pour être mère ou pas ?
Si ce n’est pas une évidence pour toi non plus, cela ne signifie pas que tu n’es pas faite pour ça.
Parfois, ce sont simplement des insécurités liées à notre histoire, à des croyances ou à ce que quelqu’un nous a transmis, mais qui ne nous appartiennent pas.
Pour moi, il y a beaucoup trop de personnes qui ne se posent même pas la question, qui restent dans ce flou et avancent dans leur vie sans réfléchir à ce sujet. Plus tard, elles peuvent avoir des regrets ou se demander : « Et si ? »
Les enjeux sont trop importants pour ne pas se poser cette question. Il est essentiel de démêler les choses pour savoir si c’est fait pour nous ou non.
Si tu te rends comte que l’envie profonde derrière la peur d’avoir des enfants est présente, alors elle devient un guide, un phare. Elle te permet de traverser les incertitudes et les obstacles. Bien sûr, ça ne veut pas dire que tout sera facile ou parfait, mais cela donne un sens, une direction. Et à partir de là, tu peux commencer à bâtir autour de cette envie.
J’ai peur d’avoir des enfants, donc je me cache derrière des excuses d’ordre pratique
Quand je dis que les aspects pratiques sont des détails, ça ne veut pas dire qu’ils ne comptent pas.
Ils ont leur importance, mais ce ne sont pas eux qui doivent décider à ta place. Ils ne sont qu’un terrain à aménager.
Le plus important, c’est de comprendre ce que tu veux profondément, et de voir comment tu peux créer les conditions pour que ça devienne possible.
Par exemple, tu peux te dire : « Je ne me sens pas prête parce que je n’ai pas encore trouvé l’équilibre parfait dans ma vie. » Mais en réalité, l’équilibre parfait, ça n’existe pas. Ce qui compte, c’est de se sentir prêt(e) et confiant(e) pour accueillir ce nouveau chapitre. Si tu sais que tu as en toi cette envie et la capacité de t’adapter, alors le reste se met en place progressivement.
Les peurs légitimes versus les peurs irrationnelles liées à la maternité
Un autre point important, c’est de différencier les peurs légitimes des peurs irrationnelles.
Les peurs légitimes sont souvent liées à des responsabilités concrètes :
« Est-ce que je vais pouvoir assurer financièrement ? Est-ce que je vais être capable de donner à cet enfant ce dont il a besoin ? » Ces peurs sont des signaux, elles te poussent à réfléchir et à te préparer. Elles ne doivent pas être ignorées, mais elles peuvent être travaillées, apaisées.
Les peurs irrationnelles, quant à elles, sont souvent des voix intérieures héritées d’expériences passées ou de croyances limitantes. Par exemple :
« Je ne suis pas assez bien pour être maman », ou « Je vais forcément reproduire les erreurs de mes parents ».
Ces peurs-là, elles ne reflètent pas une vérité universelle, mais plutôt des blessures ou des doutes personnels. C’est ici qu’un travail sur soi peut être très bénéfique.
Il y a aussi des peurs plus subtiles, comme celle de perdre sa liberté ou de ne plus être soi-même. Ces peurs sont normales.
J’ai peur d’avoir des enfants : la réponse se trouve en toi
Devenir maman, c’est une transformation. Ce n’est pas la fin de qui tu es, mais une évolution. Il est tout à fait possible de rester toi-même tout en assumant ce rôle. En fait, plus tu seras alignée avec qui tu es, plus tu pourras vivre cette expérience de manière sereine et épanouissante. Une Mère est avant tout une Femme.
Ce qui m’amène à te poser cette question : as-tu déjà pris le temps de t’écouter vraiment ? De te demander ce que tu veux, au-delà des peurs, des attentes des autres, et des pressions sociales ?
Parce que cette réponse, elle ne viendra que de toi. Et peu importe ce qu’elle est — un « oui », un « non », ou même un « je ne sais pas encore et je me laisse du temps » —, ce qui compte, c’est qu’elle soit sincère.
J’avais une amie qui, parce qu’elle était avec un conjoint qui n’en voulait pas, s’était autopersuadée qu’elle n’en voulait pas non plus. Lui, de son côté, portait des blessures liées à son enfance, ce qui expliquait sa peur d’avoir des enfants. On en a beaucoup parlé, et par la suite elle m’a avoué : « Peut-être que si, j’en veux, c’est juste que je ne me l’autorisais pas parce qu’il avait dit qu’il n’en voulait pas. »
Avec le temps, ils sont devenus parents, notamment parce qu’il a fait un travail sur lui en thérapie. Ce n’était pas qu’il n’en voulait pas fondamentalement, mais plutôt qu’il se sentait incapable, pas à la hauteur, pas prêt. Je ne connais pas tous les détails, mais il y avait clairement quelque chose qui bloquait.
Te poser les bonnes questions pour décider d’avoir des enfants un jour ou pas
Je ne dis pas que c’est ton cas, ni qu’il y a forcément quelque chose à débloquer. Ce n’est pas toujours l’objectif.
Ce qui est important, c’est de se poser les bonnes questions :
Qu’est-ce qui m’appartient et qu’est-ce qui ne m’appartient pas ? Qu’est-ce que moi, j’ai envie de vivre dans ma vie ?
Et à partir de là, suis-je prêt·e à mettre en place les choses nécessaires pour atteindre cet objectif qui me tient à cœur ?
Plus ce sera clair pour toi, plus ce sera réalisable. Si ce n’est pas clair, il y a peu de chance que tu le vives pleinement.
Si tu ne creuses pas ta peur d’avoir des enfants, tu risques de reproduire les mêmes schémas. Par exemple, tu pourrais te retrouver face à un partenaire qui n’est pas sûr non plus ou qui reflète tes propres doutes. Souvent, le partenaire est un miroir de soi.
S’il y a une insécurité ou un flou en toi, cela peut se refléter chez l’autre. Ou bien, tu pourrais rencontrer quelqu’un qui te challengera sur ce point, comme c’est arrivé à une de mes clientes. Tout peut arriver, mais les enjeux sont trop importants pour ne pas se poser ces questions, même si cela prend quelques mois ou quelques années pour vraiment démêler les choses et savoir si c’est fait pour toi ou non.
Trouver des ressources sécurisantes pour toi
De part mon expérience, il y a peu de ressources pour aider les Femmes qui ont peur d’avoir des enfants, les aider à se sécuriser dans leur choix. Beaucoup de ressources parlent de l’évidence de vouloir être maman, de la beauté de la maternité, comme si tout était merveilleux. Ce n’est pas toujours le cas, et on le sait. La maternité, pour moi, c’est à la fois un défi immense et une expérience merveilleuse. C’est intense dans tous les sens du terme, mais chacun·e le vit différemment en fonction de son histoire personnelle.
Bref : pour ma part, j’ai cruellement manqué de ressources. J’avais des amies pour qui c’était une évidence, et elles ne comprenaient pas que je puisse hésiter ou ne pas ressentir cela. À côté, d’autres personnes étaient complètement fermées sur le sujet, et je ne pouvais pas en parler avec elles. C’est pour cela que je partage mon expérience ici.
Je me souviens qu’au moment où mon conjoint et moi avons décidé que nous voulions devenir parents, nous n’avions pas encore entamé concrètement le processus, mais nous avions pris cette décision : nous le serions un jour, nous le voulions. À partir de ce moment-là, j’ai cherché des ressources, des livres qui pouvaient me rassurer et me sécuriser dans cette idée de devenir maman.
J’ai trouvé un livre qui avait l’air super… Puis je l’ai jeté. Je pensais qu’il allait m’apporter des témoignages sur la maternité, sur comment cela se passe, des récits constructifs. Mais en réalité, c’était des témoignages de mamans qui regrettaient d’être devenues mères…
Il y avait même des détails assez glauques, des récits de femmes qui disaient avoir eu des pensées terribles, comme vouloir faire du mal à leur bébé. C’était vraiment sombre, et je me suis dit : « Non, ce n’est pas ce que je veux lire. »
Moi, je connaissais mes insécurités, et je savais que j’avais besoin d’être entourée de discours rassurants sur ce sujet. Pas de quelque chose qui viendrait amplifier mes doutes ou mes peurs. Je sais que ces situations existent, qu’on peut regretter la maternité, mais ce n’était pas ce dont j’avais besoin à ce moment-là. Connaître mes limites m’a permis de ne pas insister avec ce livre.
À la place, j’ai trouvé un ouvrage qui m’a beaucoup apporté : « Je suis enceinte et ça me plaît » de Lilou Massé. Si tu fais partie de celles qui ont envie de devenir maman, je te le recommande. C’est un livre très doux, bienveillant, qui décrit la maternité de l’auteure depuis le moment où elle tombe enceinte jusqu’à son expérience en tant que jeune maman. C’est beau, c’est apaisant, et cela m’a vraiment confortée dans l’idée de devenir mère.
On démêle les peurs – si ton envie d’avoir des enfants est présente
Dans la deuxième partie de cette réflexion, je vais parler de quelques peurs qui reviennent souvent dans mes accompagnements, des craintes que partagent les femmes que je reçois. À travers mon expérience personnelle, qui n’est bien sûr pas universelle, j’espère t’apporter des clés pour t’apaiser et t’aider à explorer ce qui te fait peur. Je n’ai pas de réponses toutes prêtes, car chaque maternité est unique, mais peut-être que cela pourra te rassurer et t’aider à avancer.
J’ai peur d’avoir des enfants et que mon corps change
Une des premières peurs fréquentes, c’est celle du corps qui change. Tomber enceinte implique forcément des transformations. On prend des rondeurs, parfois de manière inattendue.
Par exemple, moi, j’ai pris une demi-pointure sur le pied gauche. Aujourd’hui, j’ai un pied plus grand que l’autre et des hanches plus larges. Je ne rentre plus dans mes maillots de bain d’avant grossesse, et c’est ok.
Oui, le corps change, mais il est capable de revenir progressivement à un état d’équilibre. Après l’accouchement, on peut se regarder dans le miroir et voir un corps différent, mais c’est une question de temps et de bienveillance envers soi-même.
Devenir maman, c’est aussi apprendre à écouter son corps autrement.
Pour moi, cela a été un vrai apprentissage de ralentir, de considérer mon corps non pas comme une simple enveloppe esthétique, mais comme un organisme aux capacités extraordinaires. Notre corps crée un enfant de toutes pièces, presque sans qu’on s’en rende compte. C’est un travail incroyable, et il est normal que cela ait un impact. Oui, on peut avoir des nausées ou des inconforts, mais cela fait partie du processus. Nous, les femmes, sommes des « machines » incroyables capables de porter et créer la vie.
Il faut aussi changer notre regard sur notre corps. C’est peut-être aussi en lien avec la peur de vieillir.
Au fil du temps, le corps évolue, il porte les marques du temps et de la sagesse. Cela peut être vu de manière négative ou, au contraire, comme un témoignage de la beauté du cycle de la vie. Porter la vie, façonner un bébé, lui donner naissance… c’est un acte puissant.
Pour ma part, après avoir accouché, je me suis sentie incroyablement forte. Je me suis dit : « J’ai réussi à donner la vie, je peux tout affronter maintenant. » Cette expérience m’a donné un sentiment de puissance incroyable, une force intérieure qui, en réalité, était déjà là, mais que j’ai pleinement ressentie à ce moment-là. C’est un autre rapport au corps, et je trouve cela extrêmement précieux.
J’ai peur d’accoucher
Alors oui, ça peut potentiellement faire mal d’accoucher, clairement.
Mais tout dépend de comment on perçoit la douleur.
Je veux dire, si on se fait écraser le bras par une mobylette et qu’il est tout écrabouillé, on vivra la douleur très différemment que pendant un accouchement. Quand on accouche, on sait pourquoi la douleur est là.
La douleur des contractions, par exemple, c’est une douleur qui nous accompagne comme des vagues, qui aide le bébé à descendre petit à petit pour qu’il sorte. C’est ça, devenir maman. Ce processus, aussi intense soit-il, est totalement naturel et nous permet de grandir en puissance, de nous sentir capables.
Si notre bébé arrivait comme par magie dans nos mains un matin, ça n’aurait pas le même sens. L’accouchement donne un véritable sens à l’arrivée de l’enfant. Voir la douleur comme un accompagnement et non comme quelque chose de subi ou d’horrible change tout. C’est vraiment une question d’état d’esprit.
J’ai peur de perdre ma liberté
Ensuite, il y a la peur de perdre sa liberté, qui revient souvent. Des questions comme : « Est-ce que je vais pouvoir voyager ? Est-ce que je vais perdre la vie que j’ai actuellement ? »
Oui, il faut accepter que ta vie ne sera plus exactement comme avant. Mais pour moi, ce qui m’a aidée, c’est de voir ça comme une transition. Au début, avec un bébé qui dort peu et la fatigue immense, on se dit : « C’est un marathon, je ne vais jamais tenir. »
Mais il faut se rappeler que c’est une période transitoire. Oui, tu sacrifies certaines choses, mais l’enjeu est tellement précieux et rempli de bonheur que ça en vaut la peine.
Et ce n’est pas une situation permanente. À mesure que l’enfant grandit, on retrouve une certaine liberté. Par exemple, aujourd’hui, ma disponibilité a évolué, et je peux prendre davantage soin de moi. Cela ne veut pas dire que toute ta vie sera comme les premières semaines. Tout est une question d’équilibre. Et si des choses comme voyager ou faire du sport sont importantes pour toi, tu trouveras des moyens de les intégrer.
Sur les réseaux, on voit des couples qui voyagent beaucoup avec leurs enfants ou qui vivent des vies plus atypiques. Tout est possible. Ce n’est pas une obligation de suivre le modèle traditionnel – maison en banlieue, chien, deux enfants.
On peut créer une famille à son image, en fonction de sa vision des choses (qui doit bien sûr être partagée avec son partenaire). Tout est une question de priorités et d’organisation.
J’ai peur d’être une mauvaise mère
Tu ne seras pas une mauvaise mère, tu seras une très bonne maman, j’en suis persuadée ❤️
Si tu te poses ces questions autour de la peur d’avoir des enfants, c’est déjà la preuve que tu as toutes les qualités d’une bonne maman. Une bonne maman, ce n’est pas une personne qui fait tout parfaitement et qui ne commet jamais d’erreurs. C’est une maman qui se trompe, qui fera des erreurs, mais qui agira toujours avec de bonnes intentions.
C’est une belle leçon de vie, d’apprendre à voir ce qui est prioritaire et ce qui est vraiment important.
La culpabilité sera parfois présente. On se dit : « J’ai mal fait, je me suis énervée, je me suis emportée. »
Mais tous les parents vivent cela. Tous les parents crient parfois, sont fatigués, ou n’ont pas l’énergie pour être dans la communication bienveillante. Parfois, la fatigue et le stress prennent le dessus, et c’est normal.
Nous sommes humains, avec une part animale et instinctive qu’il faut aussi accepter. Il est important de ne pas être trop exigeant envers soi-même et de privilégier la douceur et la bienveillance, d’abord envers soi.
J’ai peur d‘avoir des enfants et me retrouver maman solo
Une autre peur qui revient souvent, c’est : « Et si on se sépare avec mon partenaire ? Et si ce n’était pas le bon ? Et si je devenais maman solo ? »
Dans tous les cas, avec des « si », on peut refaire le monde. Il n’y a pas de raison que cela arrive, mais si jamais cela devait arriver, assure-toi simplement d’être avec quelqu’un avec qui tu te sens bien et qui partage une vision commune.
Si ce n’est pas clair, n’hésite pas à te faire accompagner pour explorer tout cela en profondeur. Si des doutes subsistent, prends le temps de vérifier s’ils sont fondés ou non.
Quoi qu’il arrive, tu as les ressources pour t’en sortir. La Vie a un filet de sécurité pour toi, et tu sauras où puiser la force pour rebondir. Il est essentiel d’avoir confiance en cela. Si l’on ne prend jamais de risques par peur de ne pas être à la hauteur, on se sous-estime souvent.
En réalité, c’est en affrontant les situations que l’on découvre ses ressources et ses capacités. Tant que l’on n’a pas vécu certaines choses, on peut douter de soi. Mais c’est aussi un cheminement : se faire confiance et se dire qu’on saura faire face à ce qui se présentera.
Peu importe la situation, tu as les capacités nécessaires pour affronter ce qui viendra. La vie, c’est prendre des risques, avancer même avec la peur. Chaque choix a ses côtés positifs et négatifs. Que tu décides d’être maman ou non, que tu choisisses une vie en couple sans enfant ou une vie de célibataire, chaque décision comporte des avantages et des inconvénients.
L’essentiel, c’est de revenir à toi, à ce qui est aligné avec tes priorités et tes valeurs. Réfléchis à ce qui compte le plus pour toi, à ce que tu souhaites construire dans ta vie.
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Dis-moi en commentaire si c’est plus clair pour toi ta peur d’avoir des enfants après avoir lu cet article ❤️
A très vite chère Lumière ✨
Marie, Coach en Estime de toi
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